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vendredi 22 janvier 2010

intervention de Marie-Christine ARNAUTU chez les bobos

Lors de la petite réunion privée que Mrs BESSON et DEBRE avaient mis en place Marie-Christine notre élue IDF a pris la parole pour poser les BONNES QUESTIONS à Mr BESSON.

Dans le reportage de M6, la BIMBO qui présente l'information est bien sur s'attaque au FN. Le Journaleux qui est surplace ne manque pas de dénigrement et bien sur coupe l'intervention de Marie-Christine pour laisser passer le message, le FN = immigration

j'ai donc fait ce petit montage qui fera sourire certains surtout à la fin avec un extrait du film NETWORK.



De plus sur ce lien pour pouvez voir égalité et réconciliation intervenir mais qui ne sont pas dans le document du journaleux et de celle de notre Farid SMAHI.


dimanche 13 décembre 2009

Les Chances pour la France brûlent le drapeau français Place du Capitole à Toulouse



Posté par NP Info Midi-Pyrénéesle 13 décembre 2009

C’était au soir du match Algérie-Égypte, devant la foule rassemblée sur la Place du Capitole à Toulouse, les policiers avaient reçu l’ordre de ne pas intervenir. Quelques Chances pour la France, surexitées, en ont profité pour décrocher des édifices publiques des drapeaux nationaux puis… les brûler !

Les mêmes ont remplacé les couleurs nationales par un drapeau algérien, devant des policiers écœurés.

Malgré les demandes répétées par radio des fonctionnaires de police auprès de leurs autorités pour intervenir, il leur a été répondu que ces actes étaient « festifs » (sic !). Du côté de la mairie même réaction de passivité : le député-maire socialiste Pierre Cohen n’a pas jugé utile de s’exprimer et l’adjoint à la Diversité (sic !), n’a vu dans ce qui s’est passé qu’une simple « bêtise » sans conséquence, et n’a émis aucune condamnation formelle, tout en étalant un discours de compréhension et d’atténuation sur la responsabilité des auteurs de ce forfait.

Du côté du Parquet : silence radio ! Une Chance pour la France qui détruit un drapeau national sur une place publique doit être un acte licite à Toulouse…

source
http://www.nationspresse.info/?p=69928#comments

mercredi 25 novembre 2009

Fin de la double nationalité en Algérie ?


Toute Vérité passe par trois étapes. En premier, elle est ridiculisée, en deuxième on s'oppose à elle violemment et troisièmenet elle est acceptée comme évidente en soi. Arthur Schopenhauer philosophe, 1788-1860.

Je vois que le bon sens arrive et les bonnes paroles de Marine Le Pen ou de son père sont reprises par le Président Algérien. Vous avez tout à fait raison Mr BOUTEFLIKA soit on choisit la France soit on choisit l'algérie mais pas les deux. Et ce n'est pas du racisme ou de la xénophobie de dire cela. Par contre cela n'empêche pas de penser au pays de nos parents ou grands-parents.


Algérie : Double nationalité, c’est fini ?

Posté par Olivier de Granville 25 novembre 2009Article du lundi 26 juin 2006. A méditer…

En Algérie, dans son discours devant le gouvernement et les walis, le Président a évoqué, en termes très sévères, le cas de ces Algériens qui, tout en occupant de hautes responsabilités, ont cherché à obtenir la double nationalité.

Evoquant le cas toujours épineux, des binationaux en Algérie, le Président de la République a qualifié de scandaleux le fait que « des Algériens fassent la queue dans les consulats dans les pays étrangers pour avoir un visa sur leur passeport ».

Citant l’exemple de la Mauritanie qui radie de facto tout Mauritanien ayant opté pour une nationalité différente, il a vraisemblablement sonné le glas de la double nationalité.

« L’Algérie appartient aux Algériens et ceux qui ont la double nationalité doivent impérativement assumer leur choix et aller vivre ailleurs », a fait savoir Bouteflika sans pour autant préciser s’il est programmé une révision du Code de la nationalité en vigueur depuis 1968, ou si les binationaux se verront interdire la délivrance d’un passeport algérien. Le président a affirmé que ceux qui ont opté pour une nationalité étrangère sont libres de leur acte, mais « l’Etat va désormais se comporter avec eux exactement comme s’il s’agissait d’étrangers ».

Dans ce registre précis, le premier magistrat du pays s’est emporté contre l’idée « bizarre » fortement répandue par le passé selon laquelle les Algériens avaient le choix entre « passer leur service national ici ou ailleurs ». Dans son réquisitoire, le président a, dans des termes à peine voilés, fustigé des hauts responsables détenteurs de passeports étrangers et aussi de simples citoyens qui sont loin de savoir que « ces pays étrangers ne reconnaissent pas la politique de l’intégration ».

Cette brusque montée au créneau intervient, faut-il le rappeler, au lendemain de l’annonce faite le 14 juin dernier par le consul général de France à Alger, Francis Heude, lors d’une conférence de presse, selon laquelle 100 000 demandes de nationalité française ont été présentées par des Algériens pour la seule année 2005. Mais selon le consul général, « moins d’une centaine seulement de ces demandes ont connu un aboutissement favorable ».

Abordant un autre volet, Bouteflika dira, s’adressant cette fois aux walis : « Il ne faut jamais bâcler le travail. Le peuple doit tout savoir, tant l’argent mis sur la table est énorme », ajoutant « Nous devrons impérativement tenir nos promesses, autrement les choses ne changeront pas d’un iota », a-t-il précisé. Abdelaziz Bouteflika ajoutera que « ceux qui ne sont pas à la hauteur de leur responsabilité seront écartés ».

Pour cela, le Président appelle au changement des mentalités en s’attaquant d’emblée au premier fléau « la corruption qui gangrène l’économie ». Il a estimé aussi que les walis seront impliqués davantage dans la gestion des affaires publiques. « Je veux des comptes sur tout ce qui se fait. Il faut que vous vous impliquiez davantage et évitiez les comportements négatifs. Il faut que vous soyez une source de propositions », leur a-t-il signalé non sans oublier d’adresser un message aux Algériens. « C’est vous et vous seuls qui choisissez vos élus.

Faites-le en veillant sur les critères de l’intégrité et de la compétence », a recommandé le Président de la République.

R. N.— Infosoir
Source

mardi 24 novembre 2009

L’identité nationale

Après avoir lu ce texte, je ne pouvais pas rester sans rien faire et donc je le publie sur mon blog. Merci à vous Marie christine ARNAUTU pour ce que vous faîtes pour la région IDF avec toute votre équipe.

L’identité nationale

Journal Officiel du 5 novembre 1957
Décret du 25 octobre 1957

Art. 1. Sont naturalisés Français :
Nom de famille : ARNAUTU
Prénom : Alexandre
Date de naissance : 15 mai 1923
Lieu de naissance : Pirdop (Bulgarie)
Décret numéro : 5932x54-75.

Nom de famille : ARNAUTU
Prénom : Georgette
Date de naissance : 7 août 1920
Lieu de naissance : Avon (Seine-et-Marne)
Décret numéro : 5932x54-75


Je venais d’avoir 5 ans quand mes parents ont été naturalisés français et aussi loin que je me souvienne ces trois petits mots « sont naturalisés français » étaient porteurs pour eux d’une immense émotion. Ma mère était italienne de naissance et mes grands-parents paternels nés en Macédoine grecque avaient émigré en Bulgarie où mon père et ses 5 frères et sœurs sont nés. Les aléas de la vie les ont ensuite conduits en Roumanie. Puis, à l’instar de la « Maritza » de Sylvie Vartan « quand l’horizon s’est fait trop noir, tous les oiseaux sont partis sur le chemin de l’espoir et mon père les a suivis à Paris ».

Mes parents m’ont toujours répété « tu es la première Française de la famille » et cette phrase a toujours résonné à mes oreilles comme un privilège exceptionnel qui m’était dévolu et que je me devrai d’honorer tout au long de ma vie. C’était aussi dans mon esprit d’enfant puis d’adolescente une très lourde responsabilité : celle de ne jamais décevoir cette terre qui avait accueilli mes parents et qui avait donné à mon père une « patrie ». Réfugié politique, mon père a eu en arrivant en France le statut « d’apatride » car il avait été « dénationalisé » par la Roumanie.

Apatride c’est-à-dire « sans père », sans nation c’est-à-dire « sans peuple », c’est-à-dire « sans rien », séparé de ses parents de sang ; séparé de ses parents de terre. C’est sans doute ces privations terribles qui ont poussé mon père à nous élever dans cette exigence du respect et de la reconnaissance de la France et sans doute encore plus que s’il y était né : nous étions débiteurs à son égard.

Forte de cet engagement à vie, et encore davantage depuis que cette terre de France a enseveli les corps de mes parents, je crois profondément que notre esprit national se définit par :
• Un honneur et une fierté qui ne peuvent briller que dans la mesure où la France réussira à se conformer dans son développement à ceux qui ont fait son histoire sur la conception du christianisme
• Un patrimoine matériel : la terre de la patrie et ses richesses
• Un patrimoine culturel né de ses propres efforts dans le domaine de la pensée et de l’art, devenant international par sa splendeur et son rayonnement

Le blé et le pain peuvent être internationaux en tant qu’articles de consommation mais ils porteront toujours et en tous lieux l’empreinte de la terre qui les a produits.

Ces trois patrimoines ont une importance capitale mais l’importance la plus grande doit être réservée au patrimoine spirituel, portant à lui seul le cachet de l’éternité substituant à travers les siècles.

Voltaire écrivait « Identité : ce terme scientifique ne signifie que même chose : il pourrait être rendu en français par mêmeté. » Et c’est cette « mêmeté » que l’on veut à tout prix nous ôter aujourd’hui en prônant l’anti nation à tout prix. L’Europe de Bruxelles et son frère mondialisme sont bien sur les premiers artisans de cette destruction avec un seul postulat, tout repère naturel doit nous être retiré : les frontières historiques de notre nation pour lesquelles nos ancêtres se sont battus au péril de leurs vies, le christianisme base première de notre civilisation occidentale raillé sans vergogne, la famille ringardisée et déstabilisée au quotidien. Les résultats de cette dictature de la pensée ne se font pas attendre : les délocalisations et leurs cortèges de licenciements et de drames, la montée alarmante de tous les communautarismes et de leurs violences, la désespérance de notre jeunesse puisque le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les 15/25 ans, l’abandon de nos personnes âgées qui n’attendent plus parfois que la mort avec impatience. Quand il n’y a plus de nation, il ne peut pas y voir de solidarité nationale, l’égoïsme règne en maitre les intérêts personnels prennent inévitablement le pas sur l’intérêt collectif. Cette France là je n’en veux pas. Je ne veux pas d’une France qui ment, qui appelle les clandestins des sans papiers, qui accepte le concept de la double nationalité comme celui de polygamie, qui défend les enfants des autres avant de veiller sur les siens qui désespèrent chaque jour un peu plus. Je ne veux pas de cette France qui n’a plus aucune fierté, qui se laisse insultée en baissant les yeux, qui remplace de plus en plus son drapeau par celui virtuel de l’Europe, qui n’enseigne même plus dans les écoles laïques de la république la langue et la grammaire française, je ne veux pas d’une France que notre jeunesse a envie de quitter, je ne veux pas de cette France qu’on pille chaque jour un peu plus, qui délaisse ses plus déshérités. Il n’y a pas à mes yeux de plus monstrueuse éducation que de brimer ses enfants, de les culpabiliser, de les maltraiter tant moralement que physiquement, de leur dicter leur façon de penser. Et c’est bien ce que fait cette France aujourd’hui avec les siens.

Un terrible sentiment de solitude m’envahit depuis la mort de mon père et de plus en plus me vient le regret de ne pas l’avoir assez interrogé en croyant bêtement qu’il était éternel, j’aurais du enregistrer cette phrase qu’il m’a tant de fois répétée : « les Français sont des gens si accueillants, si gentils ». A l’heure où on célèbre la chute du mur de Berlin à coups de flons flons, a-t-on même évoqué les 80 millions de morts du communisme, a-t-on seulement pris conscience que trois générations ont été sacrifiées sur l’autel de la dictature ? Pense t on vraiment que nous sommes à l’abri d’une même catastrophe ?

On oublie que dans les années 70 et avant la chute du rideau de fer, les Roumains réfugiés politiques ne pouvaient retourner en Roumanie qu’après avoir « renoncé » à la nationalité roumaine, moyennant finances auprès de l’ambassade roumaine à Paris.

Bien sûr, il m’arrive chez moi de rêver à ce qu’il me racontait de son enfance en Bulgarie et de la vallée des roses, bien sur je verse des larmes quand j’écoute le violon ou la flûte de pan de la musique roumaine, bien sur j’ai cette nostalgie au cœur quand une chanson napolitaine vient me rappeler la douceur de ma mère mais tout ça se passe chez moi. On ne demande pas aux Français d’origine étrangère de renier le passé de leurs parents ni leurs traditions transmises de génération en génération, on exige simplement qu’ils ne les imposent pas publiquement au pays qui les a accueillis.

Pour combler le manque charnel de mes parents et cette tristesse infinie qui m’envahit parfois, je n’ai rien trouvé de mieux que le travail et la poursuite de mon combat politique tant que Dieu m’en laissera la force : je le dois à la France, je le dois à mon père.

Aujourd’hui plus que jamais, pour mes enfants et pour mon pays, je me battrai pour la liberté, car être Français c’est aussi et d’abord être libre. Ce serait un crime de ne pas mettre toute notre énergie dans cette lutte pour la préserver. Notre liberté de parole, d’action et de pensée est menacée, chaque jour un peu plus et notre identité nationale dépend de notre capacité à la reconquérir à tout prix. Le temps nous est compté et chacun d’entre nous doit s’y employer.

Selon notre conception de la nationalité au Front National, je n’aurais pas du bénéficier du droit du sol qui m’a faite Française puisque je n’en ai pas « hérité ». Je ne suis pas Française de sang. Je crois pourtant que mes 36 ans de combat politique auprès de Jean Marie LE PEN ont été mon petit tribu payé à la France pour essayer d’avoir « mérité » la nationalité qu’elle m’a offerte en cadeau à ma naissance, mille fois plus précieux que les petites cuillers en argent de certains.

Français, je vous en conjure, relevez la tête !

Marie-Christine Arnautu